Des applis intelligentes pour éviter le gâchis

On jette près de 10 millions de tonnes de nourriture par an en France. Pour éviter le gâchis, trouvez l’appli qui vous sera la plus utile. 

Récupérer les invendus

On vous avait déjà parlé de Too Good to Go. Le fonctionnement de l’appli Le Phénix est similaire. On dispose d’une carte sur laquelle on peut visualiser des commerçants à proximité de chez nous qui ont des invendus qu’ils proposent à prix cassés. Vous réservez et payez via l’appli avant d’aller chercher votre butin au créneau convenu avec vos propres récipients.
Le fonctionnement d’Optimiam est également assez similaire.

Mieux gérer le contenu de son frigo

Vous avez la mauvaise habitude d’oublier des aliments au fond de votre frigo ? Il existe désormais tout plein d’applis pour éviter ce gâchis. C’est notamment le cas de Checkfood, qui vous prévient quand l’un de vos produits arrive à sa date de péremption. Concrètement, au moment de ranger vos courses, vous scannez le code barre des produits, indiquez leur date de péremption et les placez dans votre placard ou votre frigo. Vous disposez ensuite d’une jauge de péremption qui vous permet de savoir où vous en êtes et de ne plus rien laisser moisir discrètement. Et lorsqu’un aliment s’approche de sa date limite de consommation, vous avez le choix entre le manger ou le donner.

L’appli Frigo Magic vous permet quant à elle de trouver de recettes avec les ingrédients de votre frigo. On choisit l’ingrédient principal de notre recette et plus de 30 recettes sont ensuite proposées avec pour chacune une liste d’ingrédients substituables. De quoi éviter les gaspillages et faire des économies.

Save Eat propose de son côté des recettes à réaliser à partir des restes du frigo. L’appli allie la gestion des dates de péremption à la concoction de recettes à partir “des fonds de frigo”.

Éviter les pertes au potager

Plutôt que de laisser se perdre votre trop-plein de navets, allez plutôt l’échanger via l’appli Lepotiron.fr. On y crée son jardin virtuel en précisant ce qu’on cultive, sur quelle surface, avec quelle technique (conventionnelle, bio, permaculture…). On fixe le prix librement. Et on donne ou troque son surplus.