Le shampoing en bouteille, c’est 80 % d’eau et beaucoup d’emballage en plastique. Pour éviter cet écueil, Julia de Sartel, 30 ans, a eu l’idée de lancer un shampoing en poudre à diluer. Un an et demi de recherche et développement en partenariat avec un laboratoire ont été nécessaires pour mettre au point la bonne formule et créer Maison Hädenn. Résultat : 99,5 % des ingrédients sont d’origine naturelle : de l’algue rouge pour hydrater et adoucir les cheveux, du sarrasin pour faire briller et fortifier la chevelure, du chanvre pour nourrir les cheveux en profondeur. En plus, la formule est 100 % biodégradable et la certification Cosmos Organic par Ecocert est en cours. Et le tout est fabriqué en Bretagne, région d’adoption de Julia de Sartel.
Comment reconstituer son shampoing ?
Il suffit de remplir la bouteille de shampoing jusqu’à la graduation avec de l’eau chaude, d’y ajouter tout le contenu du sachet fourni et de secouer pendant 30 secondes environ. Avec les 240 ml contenus dans la bouteille, on peut faire environ 20 shampoings.
L’avantage : on peut recharger son flacon en verre à l’infini. Il suffit de racheter des sachets de poudre à reconstituer.
Le shampoing n’est pas encore disponible à la vente, mais il est possible de le précommander sur la page Kisskissbankbank de Maison Hädenn. Comptez 30 euros pour le kit de démarrage comprenant la bouteille de shampoing et une recharge.
Comment acheter vos produits merci
Bonjour vous avez adressé votre message à Mon Quotidien Autrement qui est un media en ligne que nous avons lancé il y a 10 ans autour de 3 thématiques que sont l’écologie, l’éthique et la santé. Nous avons fait un coup de cœur sur le shampooing à diluer de la marque Hädenn dont nous avons apprécié le côté naturel et écologique. Vous pouvez acheter leur produit directement sur leur site : https://maisonhadenn.fr/
Le principe est super intéressant. Bravo pour cette idée, mais le prix est rédhibitoire.
30 euros une bouteille en verre et une recharge de shampooing pour 20 shampooing 😳.
Le prix de la recharge n’est pas mentionné.
Ce n’est vraiment pas à la portée de toutes les bourses.
@ Catherine Pannetier, merci pour votre message. Nous avons aussi trouvé que l’ensemble était cher et étions ennuyés de ne pas avoir d’indication sur le prix de la recharge. Nous n’avons pas réussi à joindre la fondatrice. Mais nous avons quand même choisi de mettre le projet en avant car nous avons été séduits par le principe de cette initiative qui va dans le bon sens.