Il n’y a pas de doute, nous sommes gourmands de volailles. C’est la troisième viande consommée en France, derrière le porc et le boeuf. En 30 ans, sa consommation a doublé, passant de 12 kg/habitant en 1970 à plus de 25 kg en 2011. Dans la basse-cour, le poulet fait figure de star : on en a mangé 15 kg en moyenne en 2011. Le mouvement ne fait que progresser : entre 2010 et 2011, la consommation a été en hausse de 5%, malgré la flambée des prix.
Un des secrets de son succès ? La chair de poulet est maigre, et « même moins calorique que bon nombre de poissons », peut-on lire sur le site du Comité interprofessionnel du poulet de chair, qui explique : « Facile à dissocier du « gras » qui est le plus souvent localisé dans la peau, la chair de poulet se distingue des viandes rouges dont le gras est généralement disséminé dans l’ensemble des tissus ».
Alors, mangeons du poulet mais une fois dans les rayons du supermarché, c’est bien difficile de s’y retrouver. Vous la connaissez, vous, la différence entre un poulet bio et un poulet standard?
Pour tout savoir, consultez notre fiche pratique, cliquez ici.